5 raisons qui ont mené mes projets à l'échec : leçons tirées

5 raisons qui mènent les projets à l’échec (et les leçons à en tirer)

Réaliser des projets est l’une des choses les plus excitantes à faire dans la vie.

Malheureusement, beaucoup échouent dans le processus pour mille et une raisons.

Et les projets n’aboutissent pas.

Dans cet article, je vais partager avec vous 5 d’entre elles que j’ai rencontré sur mon chemin, et les leçons que j’en ai tirées.

Depuis, je n’aborde plus mes projets de la même façon.

C’est parti.

Raison n°1 : Le manque de focus

Quand l’idée d’un projet germe dans notre tête, on est plein d’enthousiasme.

On imagine déjà le résultat et la joie nous envahir. Son premier roman publié, son job de rêve décroché, son premier semi-marathon avalé.

Et une idée en amenant une autre, on se met à vouloir lancer plein de choses en même temps. Après tout, ces projets ne devraient pas prendre trop de temps à finaliser.

Mais on oublie un détail important :

Le temps, l’énergie et l’attention sont des ressources limitées

Quand on démarre plusieurs projets en même temps, on divise son temps, son énergie et son attention. Ce qui complique l’avancée de chacun d’eux.

Et 6 mois plus tard, on se dit que ça demande beaucoup plus de temps et de travail qu’attendu.

Finalement, devant les résultats décevants et la faible progression constatée, on remet au lendemain et on finit par laisser tomber.

Maintenant, regardez ce qui se passe quand on passe de 4 projets menés de front :

A 1 projet unique à la fois :

En exécutant moins de projets à la fois, vous pouvez leur consacrer davantage de temps et d’attention.

Vous voyez les fruits de vos efforts plus rapidement. Cela vous motive à continuer et vous décuplez vos chances de mener vos projets à terme.

Vous créez un cercle vertueux.

C’est contre intuitif. Mais au final, en lançant moins de choses en même temps, vous en faites plus. Et surtout, vous allez au bout.

Conclusion, pour faire de réels progrès :

Il faut être sélectif et se focaliser sur 1 ou 2 buts prioritaires (au lieu de 4 ou 5). Mais aussi sur l’essentiel pour accomplir ces buts.

Je vous explique.

Pour développer mon activité autour de ce blog, j’aurais pu écrire des articles, faire des vidéos YouTube, enregistrer des podcasts, animer un groupe Facebook, être présent sur Instagram… Tout ça à la fois.

Mais au lieu de ça, je me suis focaliser sur une chose : l’écriture.

Pas de vidéos. Pas de podcasts. Pas de réseaux sociaux. Alors même que tous les pros du web ne jure que par ça. Et pourtant le blog marche bien et croit d’année en année.

Pour quelle raison ? Le focus.

Bien sûr, toutes ces choses ne sont pas à jeter à la poubelle. Mais l’expérience m’a montré que tout faire en même temps est contre-productif et permet d’accomplir très peu au final.

Le manque de focus est l’une des raisons majeures des projets avortés

Je suis tombé dans le panneau quand j’ai démarré mon activité d’éditeur.

J’avais acquis les droits d’une dizaine de produits pouvant aider des milliers de gens.

Je me suis dit “si le produit est bon, les gens vont être intéressés, no problemo !”

J’ai donc créé une dizaine de sites internet, chacun sur leur thématique respective : la gestion du temps, la lecture, la mémoire, la perte de poids, le stress…

C’était juste des petits sites internet, mais cela ne changeait rien. Je divisais mon attention entre tous ces domaines. Et le constat fut sans appel : un échec total !

J’ai alors pris la décision de fermer tous ces sites web et de me concentrer sur un seul : Temps Action.

Ça m’a permis de développer la notoriété de ce blog. De le voir cité parmi les meilleurs blogs de sa thématique. Et de recevoir des invitations à parler dans des conférences ou dans de grandes écoles.

Tout ceci n’aurait pas pu se produire si j’étais resté avec 10 projets en parallèle.

Je le répète. Le focus est un avantage énorme pour faire aboutir ses projets.

Une fois que votre affaire tourne bien, que vous avez des systèmes bien rodés en place, vous pouvez lancer d’autres choses à côté.

Raison n°2 : Croire que tout se déroulera comme prévu

Même avec un super plan en main, ça ne se déroule jamais comme prévu !

Le savoir permet de se décomplexer d’entrée de jeu. Nul besoin que ce soit parfait.

Autrement, le moindre pépin prendra des allures de cataclysme et sera perçu plus gros qu’il ne l’est en réalité.

A la première action ratée, on risque de crier à l’échec et d’abandonner. Parce que au lieu d’aller tout droit, il faut slalomer, contourner, revenir en arrière. Et parfois pivoter et revoir le plan en entier. Ça arrive.

Un projet, c’est comme un vol en avion

Vous pouvez avoir beau temps pendant votre voyage. Mais en réalité, il survient très souvent des perturbations. Secousses, mauvais temps, problème technique, retard au départ…

Vous pouvez être dérouté vers un autre aéroport. Partir en retard ou même le lendemain.

Selon l’enquête menée par Air Indemnités, le trafic aérien a connu 34 années de retard cumulé en 2018 pour les vols depuis ou vers la France uniquement !

Quand un pépin se produit, au mieux ça secoue un peu, au pire vous perdez une journée ou deux. Mais au final, vous arrivez à destination.

C’est la même chose avec les projets.

En réalité, vous n’aurez pas raison la plupart du temps en ce qui concerne la voie à suivre et les actions à mener.

Mais ça n’a pas d’importance car faire des erreurs est un processus normal. C’est la base de la progression.

Quand vous placez une mauvaise pièce sur un puzzle, vous ne dites pas “j’ai échoué”. Mais “voilà une pièce en moins à tester avant de trouver la bonne.” Et vous en essayez une autre.

Préparez-vous à faire des erreurs pour aller de l’avant

Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis considéré comme un raté ! Tout ça parce que les choses ne se déroulaient pas comme prévues ou que j’avais besoin de plusieurs essais avant de trouver la bonne combinaison.

Mon conseil : Arrêtez de voir vos projets comme une belle balade sans embûches. Vous aurez des embûches, mais vous serez soulagé de le savoir avant même de démarrer.

Vous ne chercherez plus à créer un plan parfait. Mais surtout, en vous préparant à échouer, vous changerez votre manière de réagir aux problèmes.

Vous passerez de l’état d’esprit défaitiste “mais c’était pas prévu ça. C’est foutu ! Je laisse tomber…” A l’état d’esprit réfléchit “OK, c’est galère mais j’y attendais. Comment régler ça ?”

A partir de là, vous entrez dans une dynamique de progrès et vos projets avancent.

Raison n°3 : Se tirer une balle dans le pied d’entrée de jeu

Quel est l’un des plus grands freins à la réussite et à l’épanouissement, quel que soit l’enjeu ou le domaine concerné ? Le dialogue intérieur.

Il est toujours présent. Et même si on ne s’en rend pas compte, il forge notre réalité et notre identité.

Il repose sur les croyances qu’on nourrit à propos de nous même, des autres et de la vie en général.

Et une chose est sûre : nous allons toujours dans le sens de nos croyances.

Comme le dit cette citation d’Henry Ford :

Que vous croyez ou non en être capable, dans les deux cas vous avez raison.”

Vous rêvez d’écrire un roman mais vous ne pensez pas en être capable ? Vous verrez toutes sortes de raisons fiables vous montrant que l’écriture n’est pas faites pour vous.

A l’inverse, si vous êtes persuadé de pouvoir courir un marathon dans 24 mois ? Vous « capterez toutes sortes de signal » vous indiquant que vous serez apte physiquement et mentalement à tenir une course de 42 km dans 2 ans.

Dans le premier cas, vous serez tiré vers votre zone de confort à la moindre difficulté.

Dans l’autre, vous serez portez par votre conviction et vous trouverez de fait des solutions pour atteindre votre objectif.

Voici le truc à comprendre :

Certaines des idées cultivées dans votre esprit n’ont aucune réalité tangible

En particulier celles qui vous font dire que vous n’êtes pas capable de ceci ou de cela.

Ce sont juste des croyances que vous avez acceptez à un moment donné. Et qui se sont implantées comme réalités à force de répétition.

C’est la même chose pour les “croyances collectives.”

Un exemple :

Pendant longtemps, on a considéré comme impossible de courir le mile (4 tours de pistes) en moins de 4 minutes. Jusqu’à ce que Roger Bannister, un étudiant en médecine d’Oxford, se persuade de dépasser cette limite infranchissable.

Le 6 mai 1954, il franchit l’arrivée du mile en 3 minutes, 59 secondes et 4 dixièmes.

Roger Bannister photographié en 1953

D’ailleurs, c’est grâce à son échec aux jeux d’Helsinki 2 ans plus tôt qu’il se lance ce défi et réussit à franchir cette limite.

Depuis, ce record a été battu 18 fois.

Pensez-y. Sans parler de record, vous avez forcément réalisé des choses dans votre vie qui vous paraissaient impensables quelques mois ou années plus tôt.

Bien sûr, la préparation, l’expérience sont à prendre en compte. Mais au départ, il y a une croyance qui vous guide dans une direction plutôt qu’une autre.

Et je parie que vous ne voulez pas attendre 20 ans avant de réaliser vos beaux projets.

Donc la question est : Comment transformer ses croyances limitantes pour réussir ses projets ?

D’abord, commencez par en prendre conscience. Cela vous permettra de vous dire “OK, j’ai cette croyance qui me bloque, je le vois maintenant.”

Libre à vous ensuite de creuser pour identifier la situation à l’origine de cette croyance.

Ensuite, tout est affaire de perception

Souvent, notre interprétation est faussée. Comme on a des croyances limitantes, on s’imagine le pire. On se dévalorise. Et on se donne une identité en accord avec ces croyances.

On se dit des choses comme “je ne peux pas réaliser [ce projet qui me fait envie], parce que je suis [nul en sport, trop vieux, pas manuel, pas créatif, mauvais en écriture, insérer toute sorte d’auto critique négative…].”

Pour y pallier, changez votre perception de vous même et des événements.

Quand vous commencez à étudier un sujet, vous tombez sur des personnes qui ont déjà accompli ce que vous voulez faire (ou quelque chose de similaire). Des gens dont la réalité est totalement différente de la vôtre. Et qui vous montrent ce qu’il est possible de faire.

Au contact de leur histoire, votre champ des possibles s’étend peu à peu et votre réalité commence à changer.

Profitez-en aussi pour modifier votre interprétation des événements dès que vous le pouvez.

Chaque tuile peut devenir une opportunité. Ce qu’auparavant vous considériez comme la pire des catastrophes peut vous amener sur des voies positives pour la réalisation de vos projets.

Mais pour le voir et en tirer parti, il faut commencer à changer son interprétation au quotidien.

Chaque situation devient alors une occasion de voir les choses sous un angle nouveau.

Raison n°4 : Être aveuglé par le résultat

Il est facile d’être séduit par l’idée d’écrire un roman, de monter une entreprise, de s’aligner au départ du marathon du Mont Blanc.

C’est bon pour la motivation d’avoir une vision idéalisée de ce qu’on veut faire. Mais quand vient l’heure de l’exécution, c’est dur dur.

On se rend compte qu’écrire est difficile. Monter un business est difficile. Courir est difficile.

Pendant qu’on rêvait, des étoiles plein la tête, on a oublié un léger détail : les efforts nécessaires pour produire un résultat.

Tout projet vient avec son lot de sacrifices. Parfois ce sont des efforts à fournir. D’autres fois des moments en famille en moins à passer, ou encore des sacrifices financiers.

Avant de vous lancer dans un projet important, posez-vous la question :

Etes-vous prêt à faire les sacrifices que ça implique ?

Soyez honnête avec vous-même. Et si la réponse est non, tournez-vous vers un projet pour lequel vous êtes prêt à faire ce qu’il faut pour l’atteindre.

Et si la réponse est oui ? Super ! Mais ce n’est pas forcément suffisant.

Voici 2 choses que vous pouvez faire pour vous donner les meilleures chances de mener votre projet à terme :

1. Définir une raison forte et significative de faire ces efforts…

Qui dépasse le simple résultat visé.

Quand j’ai changé mon alimentation et me suis mis à courir 3 fois par semaine, c’était pour une bonne raison : améliorer ma condition physique qui limitait ma progression et mon temps passé sur ma passion, la planche à voile dans les vagues.

Lorsque j’en “chiais” littéralement pendant mes séances de footing, je pensais à la raison pour laquelle je faisais tous ces efforts. Rien que ça m’a permis de ne pas lâcher, de courir plus et d’en faire petit à petit une habitude.

2. Commencer avec de petites actions et monter en puissance progressivement

Je suis toujours étonné de voir à quel point les gens mettent la barre haut tout de suite quand ils ont un truc en tête.

Vous croisez souvent des joggeurs débutants se mettre à courir une heure d’affilée. Et recommencer 2 jours après. Je les comprends. Ils ont des objectifs et ne sont pas là pour rigoler.

Mais c’est la voie rapide vers l’abandon ou la blessure prématurée.

Alors qu’en commençant tranquillement par 10 ou 15 minutes à petites foulées lors des premières sorties :

  • Vous démarrez sans encombre
  • Le corps a le temps de s’adapter à l’effort
  • Et vous trouvez beaucoup plus facilement du temps à consacrer à votre projet.
La clé tient dans le process et la progression. Pas dans l’épuisement et l’ambition démesurée.

Autre exemple

Connaissez-vous Jean-Philippe Touzeau ? Il est surtout connu pour sa série de romans à succès en 10 volumes, La femme Sans Peur.

Le volume 1 de la saga

Mais il n’a pas commencé par écrire des pavés de 500 pages.

Ce que peu de gens savent, c’est qu’il a d’abord testé la température en publiant un à un les chapitres de sa première nouvelle sous forme d’articles de blog.

Ainsi, il voyait tout de suite si l’histoire plaisait grâce au retour de ses lecteurs dans les commentaires du blog. Il affûtait aussi son style d’écriture, prenait une habitude de rédaction quotidienne et développait son lectorat.

Puis, il a publié son premier livre en compilant ses articles de blog. Vint ensuite le second, puis le troisième, toujours sous format court. Et une fois qu’il avait accumulé assez d’expérience, il s’est lancé dans le premier volume de sa saga.

C’est l’exemple même du process et de la progression.

Vous pouvez faire pareil pour votre projet. Qu’il s’agisse de course à pied, d’investissement immobilier ou d’apprendre une nouvelle langue.

Raison n°5 : Ne pas suivre son avancée

Attention, autre point critique !

Écrire son objectif et avoir un plan c’est bien. Mais ça ne sert à rien si vous ne l’appliquez pas.

Vous vous dites peut-être que vous n’allez pas oublier votre super projet qui vous tient tant à cœur ?

Je connais la chanson, pour l’avoir entendu à foison. Mais aussi pour l’avoir expérimenté plus d’une fois.

J’ai noirci des pages d’objectifs par le passé, dans un cahier enfoui dans mon bureau ou sur des fichiers textes perdus dans mon pc.

Parmi ces objectifs, certains n’ont jamais vu le jour. Et les autres n’ont pas été exécutés jusqu’au bout.

A chaque fois, il me manquait quelque chose pour passer à l’exécution pratique et régulière sur le long terme.

Et cette chose, c’est un système simple pour suivre sa progression.

Un objectif vous donne le résultat à atteindre. Mais cela ne vous dit pas si ce que vous faites au quotidien est bon ou non. Et doit être corrigé ou non.

Vous devez donc avoir un système qui vous permet de mesurer ce que vous faites pour accomplir votre objectif.

Comme ça, vous pouvez ajuster votre approche si nécessaire et progresser en continu dans la réalisation de votre projet.

C’est un excellent moyen d’entretenir la motivation et de rester focus.

De quoi avez-vous besoin pour faire ça ? 3 petites choses.

La première, c’est de définir un ou deux indicateurs clés

Ceux qui ont le plus d’impact sur le résultat visé.

Si votre projet est d’écrire un livre, cela peut être le nombre de mots rédigés par jour.

Si votre objectif est d’accroître le chiffre d’affaires de 30%, cela peut être le nombre de rendez-vous client décrochés par semaine.

Le tout est de se limiter aux actions essentielles mesurables et qui apportent le plus de résultat.

Et si vous ne trouvez aucun élément chiffrable, vous pouvez très bien choisir comme indicateur de travailler 30 minutes par jour sur votre projet par exemple, comme l’a fait Julien pour écrire son livre.

La seconde, c’est d’avoir un système pour suivre vos progrès

Vous pouvez utiliser un outil en ligne comme Google Sheet, un tableur excel, une application mobile ou une simple feuille de papier accrochée au mur.

C’est ici que vous allez noter vos actions quotidiennes ou hebdomadaires sur la base de vos indicateurs.

Suivi du nombre de mots rédigés au quotidien

Comme vous avez défini une date de réalisation pour votre projet (le 31 décembre par exemple), vous pouvez suivre avec précision votre avancée et adapter votre approche au fil du temps.

Mais ce n’est pas le seul avantage, car le fait de voir tous ses jours consécutifs ou vous avez agi sur votre projet vous donnera cet élan pour continuer.

La troisième, c’est une revue régulière et planifiée de votre projet

Pendant cette revue, vous allez :

  1. Revoir votre projet.
  2. Prendre en compte votre avancée.
  3. Et décider de la ou des prochaines actions à exécuter si nécessaire.

Il vous suffit de bloquer un rendez-vous hebdomadaire dans votre agenda.

Mais il est crucial de vous y tenir ! Comme on dit, “loin des yeux, loin du cœur.”

Compter uniquement sur sa motivation pour accomplir ses projets, c’est comme danser la salsa sur une corde de funambule. Ça risque d’être très, très compliqué !

Je sais que vous êtes motivé au début. Mais croyez-moi, le quotidien peut vite prendre le pas et occuper tout votre temps.

Si vous n’avez pas pris vos dispositions, je ne donne pas cher de votre projet.

Alors, engagez-vous à respecter ce petit créneau pour revoir votre objectif régulièrement.

Dans la majorité des cas, ce n’est pas dans la planification qu’un projet échoue, mais dans son exécution.

Et le fait de suivre son exécution est un pilier majeur pour faire aboutir vos projets.

Conclusion

J’espère que les idées partagées dans cet article changeront votre façon d’aborder vos projets.

Comme vous l’avez vu, votre plan n’a pas besoin d’être parfait.

Vous n’avez pas besoin de tout réussir du premier coup non plus. C’est une pensée sournoise, imprimée en force par la société. Une pensée d’adulte qui a oublié d’où il vient et comment les choses se font.

Vous allez faire des erreurs. Trébucher. Vous planter.

Et vous savez quoi ? C’est tant mieux parce que c’est comme ça que ça marche.

Quand vous lancez un projet, vous apprenez, vous empruntez de nouveaux chemins.

Vous devez simplement savoir ce que vous voulez, pourquoi vous le voulez et où vous mettez les pieds.

Quand vous savez ça et que vous comprenez que la réussite d’un projet est le fruit d’une succession de petites actions mises bout à bout…

Vous êtes dans une bien meilleure position que ceux et celles qui s’arrêtent à “j’aimerais faire ça…”

Vous passez à l’action et faites des choses dans le monde. Vous expérimentez pour de vrai.

Et vos résultats vont donneront des indications sur la meilleure façon de continuer.

Tout est fait de manière progressive et cohérente pour vous aider à atteindre votre objectif.

Et c’est tout le mal que vous je vous souhaite 😉

À propos de l’auteur Clément

Clément est le créateur de Temps Action. L'ambition de ses contenus ? Vous aider à éliminer le superflu et faire ce qui compte vraiment.

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