L’astuce presque magique pour faire avancer vos projets plus facilement

Bonjour Clément,

Ça rejoint mon idéologie de la théorie, et celle de beaucoup d’autres. Parce que la théorie c’est bien, pour s’informer, pour se préparer, mais la pratique c’est mieux, surtout quand la part de pratique est des dizaines de fois plus élevée que la théorie.

En fait, nous (les inactifs) avons gardé l’une des nombreuses mais pires habitudes que nous offre l’école, à savoir rester assis sur une chaise toute la journée à écouter parler des gens sans rien faire. On emmagasine des idées dont on aura oublié la majeure partie le soir même.
En plus de stériliser notre créativité et de saturer notre cerveau, l’école aura fait de nous des gens qui cherchent à savoir faire quelque chose, ou même qui savent faire ; mais qui ne font rien.

On passera des journées sur internet pour voir et apprendre comment réaliser un meuble, mais finalement on en fera pas. On passera des heures à infatigablement étudier le marketing et le commerce, mais on ne lancera finalement aucuns produits.

S’il y a une grosse accroche dans ton article, ce sont ces chiffres qui nous permettent de prendre conscience de l’importance qu’ont chaque minutes de la journée ; après cette lecture, c’est sûr qu’on les utilisera mieux !

Tes articles sont des fruits gorgés de jus !
Bonne soirée 🙂

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Je n’ai jamais eu du mal à m’accorder du temps pour me lancer dans les choses qui me plaisent, mais tes conseils ont l’air efficaces (peut-être également tirés d’une expérience personnelle ?). D’ailleurs, la preuve, c’est que je tiens un blog depuis février ! Un jour, j’ai décidé de me lancer, et c’est vrai que ça fait vraiment plaisir lorsqu’on voit son projet avancer.

Au plaisir de te lire,
Hugo.

Beaucoup de gens bloquent devant un projet qu’ils considèrent trop grand, « y’a trop de travaille », « ça prendrait trop de temps », et restent à l’état zéro.
Ils oublient l’adage Chinois : « Même le plus long des voyages commence par un premier pas ».
On peut aussi s’inspirer de la méthode Kaizen, vous connaissez ?

Bonjour Martin,

C’est juste. Quand on se focalise sur une activité ou un projet dans sa globalité, ça peut vite devenir paralysant. J’aime beaucoup cet adage que vous citez.

Cela me rappelle la réponse qu’à donné Stephen King lorsqu’un journaliste lui demanda comment il faisait pour écrire de tels romans. A cela il répondit très simplement « un mot après l’autre ». Ce n’était pas le genre de réponses que le journaliste attendait !

Tout comme la méthode Kaizen que vous citez, qui est née si ma mémoire est bonne au Japon dans l’usine Toyota.

De la même manière, on a tendance à coincer lorsque les choses sont mal définies. En clarifiant et en définissant la toute première action qu’on peut faire pour qu’un projet avance, on peut rapidement parvenir à débloquer la situation.

Merci pour ce commentaire.

Bonne journée.

Clément

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