Arrêter de procrastiner avec la méthode Komodolee®

Méthode Komodolee® : La solution pour arrêter de procrastiner (en travaillant sur ordinateur)

arreter de procrastiner

Cette situation vous est-elle familière ?

Votre expresso matinal avalé d’un trait, vous vous posez devant votre ordinateur en vous disant : “Bon OK… Par quoi je commence ?”

Pas de plan précis pour la journée. Mais déjà une chose vous titille le bout des doigts.

Internet. Voilà un formidable moyen de procrastiner.

Alors, comme c’est moins fatiguant de cliquer que de décider sur quoi travailler, vous pensez naturellement : “Allez, je vais vite aller voir mes mails…”

Et hop ! Vous voilà parti dans votre boite virtuelle remplie de demandes diverses, nouvelles fascinantes et urgences à régler.

Résultat ? Vos meilleures heures sont dilapidées sur les objectifs des autres. Ou sur des sujets secondaires.

Ce qui vous met en rogne car ce petit manège quotidien vous éloigne de ce que vous voulez accomplir….

Comme ce projet dont vous serez fier une fois bouclé. Ce chantier qui vous fera gagner du galon. Ou cette soirée tranquille que vous aviez prévue une fois ce dossier épineux clos.

Mais comment faire pour arrêter de remettre au lendemain vos priorités ?

Vous saurez tout dans quelques lignes.

D’abord, sachez que vous n’êtes pas seul(e) dans cette situation. Selon cette étude comptant 308 participants, 47% du temps passé en ligne est dédié à… Procrastiner.

Et c’était en 2001 !

Internet n’était pas aussi attrayant qu’aujourd’hui. YouTube n’existait pas, Facebook non plus et que dire d’Instagram ?

la procrastination sur internet, étudeInternet en 2001

Alors pour arrêter de procrastiner, je vous ai concocté une nouvelle méthode :

La méthode Komodolee© (prononcée Komodoli)

Avant de vous la dévoiler en avant-première (je ne l’ai mentionnée nul part ailleurs pour le moment), je dois vous parler d’un aspect crucial de la procrastination.

Ce qu’on apprend pas à l’école

Entre vos cours de maths et d’histoire, il y a peu de chances qu’on vous ait enseigné ceci :

  • Comment lutter contre la procrastination, cette tendance humaine qui vise à remettre les choses importantes à demain ?
  • Comment agir sur demande ?
  • Comment quitter une activité plaisante pour une activité moins plaisante ?
  • Et surtout… Une fois la tâche débutée, comment la poursuivre jusqu’à la fin ?

En effet, c’est une chose de commencer.

Mais certaines personnes sont si heureuses d’avoir réussi à démarrer qu’elles vont se récompenser avant d’avoir terminé.

Au final, rien ne se concrétise. Et la vue de tous ces projets en cours provoquent vite des sueurs froides.

Prenons l’exemple de Marc

Après avoir résisté à la horde d’ingénieurs du GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) qui l’incitent à passer un temps déraisonnable sur les réseaux sociaux grâce à la captologie

Après avoir dit non à Netflix et à ses amis l’invitant à déjeuner…

Marc commence à travailler sur ce document important.

Mais soudain, il lui manque une information cruciale pour terminer son chapitre. Il lance alors une recherche internet.

Et une heure plus tard, sans vraiment savoir pourquoi, ni comment, il termine sur le site « Wait but why » en lisant un article lui expliquant comment choisir une bonne carrière.

Ou mieux, sur un article qui lui montre comment ne pas procrastiner (comme celui que vous êtes en train de lire).

Si le cas de Marc vous semble familier, faisons en sorte que le moment passé en ma compagnie vous soit utile.

L’élément primordial à saisir avant tout

Comme le dit Robert Green dans son excellent ouvrage « Mastery » :

La procrastination est une tendance humaine qui met la priorité sur les bénéfices immédiats (avec un minimum d’efforts) plutôt que sur les bénéfices longs termes.”

MasteryLivre Mastery

Pourquoi me faire mal à travailler mes cours du soir pour décrocher un diplôme dans 2 ans et monter en grade dans mon entreprise, si dans 5 minutes je peux me relaxer devant une série Netflix ?

Donc le premier aspect à comprendre avec la procrastination, c’est qu’il n’y a pas de gènes de procrastinateur.

Tout le monde à cette tendance en soi.

En revanche, il y a des tâches repoussantes et des tâches attrayantes

Et cette notion varie d’un individu à l’autre.

Par exemple, si je devais marcher 2 heures avec un caillou dans la chaussure, sous un soleil de plomb avant de commencer à écrire, Clément attendrait encore mon article.

J’aurai procrastiné car ce serait trop dur de commencer.

Ou alors…

Si je devais rédiger cet article sur un ordinateur qui s’éteint toutes les 2 minutes et m’affiche la lettre P sur mon éditeur de texte quand je tape sur A, j’aurai vite abandonné la rédaction.

Car ce serait trop dur de continuer.

Ou…

Si le site Temps Action avait 2 visiteurs par jour, les conséquences liées à la rédaction de mon article auraient été trop faibles pour m’inciter à agir. Mais comme des milliers de gens lisent ces articles, les conséquences me motivent à taper frénétiquement sur mon clavier.

Cela nous mène au concept important à saisir lorsqu’on aborde la procrastination :

Chaque tâche est composée de 3 éléments

Ce n’est pas un gène qui sépare les procrastinateurs des personnes productives, mais la configuration des tâches en elles-mêmes.

Et ça fait du bien de le comprendre. On peut arrêter de se culpabiliser en se disant : « Julien, tu n’arriveras jamais à t’y mettre. Tu n’es qu’un bon à rien » (ou tout autre genre d’auto-insulte qui flingue l’estime personnelle).

Si vous continuez de procrastiner, c’est que vous n’avez pas encore trouvé la bonne formule concernant une tâche particulière.

Et pour ça, vous devez prendre en compte les 3 éléments d’une tâche :

  1. Le début de la tâche (marcher 2 heures pour commencer la rédaction dans mon exemple)
  2. La tâche en soi (écrire sur un clavier qui ne fonctionne pas)
  3. Les conséquences (absentes ou trop lointaines) de la tâche (un site internet qui n’a pas de visites)

Mais attention, car un seul élément repoussant sur 3 peut vous inciter à procrastiner la tâche en totalité.

Par exemple, je peux avoir un ordinateur très performant à portée de main, une musique motivante qui m’incite à écrire, ainsi qu’une check-list à suivre pour me faciliter le travail et apprécier la tâche en cours…

Mais l’absence de conséquences m’incite à repousser cette tâche à demain.

Puis au surlendemain… Bref, je ne vais pas vous faire de dessin. Si vous lisez ces mots, c’est que la procrastination vous dit vaguement quelque chose 😉

Ces 3 éléments vont alors vous servir de levier d’actions contre la procrastination.

Comment transformer une tâche repoussante en tâche attrayante

Vous l’aurez compris. Pour rendre une tâche attirante, il faut que :

  • La tâche soit la plus facile à démarrer
  • La plus facile à continuer
  • Et implique des conséquences fortes pour soi.

Ou alors…

Que les tâches distrayantes soient plus difficiles à débuter.
Plus difficiles à continuer…
Avec des conséquences fâcheuses pour vous.

Et là, d’un coup, l’organisation devient créative.

Pour mettre en perspective cette notion de conséquences, prenons une fausse solution que je vois souvent chez mes lecteurs. Ils cherchent à se mettre la pression en avançant une deadline.

Ils se disent : “Je dois préparer une réunion pour le 31 janvier. Je vais donc avancer la deadline au 15 janvier pour me forcer à travailler.”

Mais cette technique populaire ne marche pas parce que les conséquences restent au 31 janvier. Et se mentir à soi-même est un exercice assez compliqué.

Pour que cette technique fonctionne, il faut réussir à avancer la deadline ET les conséquences de ne rien faire. Vous voyez ?

Pour en revenir à la méthode Komodolee, le plus important est dit.

Note : Si vous souhaitez creuser le sujet, j’ai développé la matrice anti-procrastination pour vous aider à savoir sur quel aspect d’une tâche travailler en premier.

anti-procrastination

Maintenant que le décor est planté, en quoi la méthode Komodolee va vous aider à vaincre la procrastination ?

Je vous montre.

Celle-ci va agir sur les 3 éléments d’une tâche qu’on vient de voir : le début, la tâche elle-même et les conséquences de la tâche.

Là, vous vous dites peut-être : “OK, super ! Mais…”

C’est quoi cette nouvelle méthode Komodolee ?

La méthode Komodolee est une solution 3 en 1 regroupant :

  • La méthode Kanban
  • La méthode Pomodoro
  • Et la méthode Ivy Lee.

Je l’ai découverte « par hasard » en me demandant comment rendre mes journées encore plus productives. Tel un apprenti chimiste qui fait des tests dans son laboratoire.

La méthode KomodoleeLa genèse de Komodolee

Je vais vous expliquer comment combiner ces 3 méthodes pour en synthétiser un puissant remède contre la procrastination.

Mais juste avant, laissez-moi vous donner brièvement les avantages de ces 3 méthodes.

1. La méthode Kanban

Inventé par Monsieur Taiichi Ohno pour le groupe Toyota à la fin des années 40. Puis reprise par les travailleurs du savoir au début des années 2000.

La méthode Kanban permet de visualiser le flux de travail à faire. Mais surtout, de se concentrer sur un seul élément à exécuter (ce qui facilite le début de la tâche).

Ce système réduit les pensées parasites à propos des choses qui ne sont pas encore en cours de réalisation (ce qui facilite l’exécution de la tâche).

Le concept est simple : 3 colonnes sont disposées visuellement sur un mur ou un logiciel.

Tableau de bord kanbanVisuel d’un Kanban

  • La première colonne regroupe tout ce qui doit être fait.
  • La deuxième concerne l’élément sur lequel se concentrer maintenant.
  • La troisième affiche les éléments faits.

On réduit alors l’effet repoussant des grands projets.

Plutôt que de penser « je dois mettre sur pied une réunion importante » en me disant « Mon dieu… par où je commence? », on va mettre dans la première colonne tout ce qui doit être fait et dans quel ordre.

Puis en basculant la toute première tâche à faire dans la seconde colonne, on se concentre sur un seul élément.

Ainsi :

« Je dois mettre sur pied une réunion » (qui est flou et paralysant) devient « je dois créer un sondage Doodle à envoyer aux participants afin de trouver une date qui convient à tous » (spécifique et donc moins paralysant).

Une fois que c’est fait, je déplace cette tâche dans la colonne « Fait. »

Petit à petit, de plus en plus de tâches réalisées se retrouvent dans la dernière colonne et c’est motivant de voir tout ce qui a été fait.

La méthode Kanban se prête aussi bien aux projets individuels qu’aux projets de groupe. Je ne rentre pas dans le détail maintenant, mais si vous voulez en savoir plus sur la méthode Kanban), c’est par ici.

2. La méthode Pomodoro

Inventée par Francesco Cirillo dans les années 80, cette méthode vous incite à travailler de manière concentrée durant un temps défini (en général 25 minutes) puis à prendre une courte pause (5 minutes).

Méthode PomodoroLe minuteur : essentiel pour calibrer vos périodes de travail et de repos

En quoi cette technique agit sur la procrastination ?

Voici l’astuce : au lieu de succomber aux tentations habituelles qui parasitent vos sessions de travail, vous les utilisez comme récompense lors de la pause de 5 minutes.

Un exemple : vous travaillez sur un dossier avec l’aide d’un minuteur pour concentrer vos efforts. Mais après 11 minutes seulement, vous ressentez le besoin quasi incontrôlable d’aller consulter vos emails.

Vous sentez l’envie brûlante vous envahir telle la vapeur montant en pression dans une cocotte minute.

C’est alors que vous reprenez vos esprits en disant : “Non ! Je vais attendre la fin du cycle et aller jeter un oeil à ma boite mail durant ma pause de 5 minutes.”

Vous repoussez une récompense immédiate (les emails) et vous l’utilisez pour terminer le travail en cours. Méthode très efficace pour ceux qui l’ont testé.

La méthode Pomodoro comporte d’autres avantages, comme le fait de pouvoir prendre l’air. De Prendre un peu de distance avec le travail en cours. Et de se demander comment éviter les interruptions.

Depuis que je l’utilise, je me sens mieux à la fin de mes journées de travail intense.

Mais vous pensez peut-être « 25 minutes n’est pas suffisant pour rentrer dans un état de concentration intense ! »

Bonne nouvelle : la méthode est flexible. Vous pouvez très bien travailler 45 min et prendre des pauses de 10 minutes. Libre à vous de sentir ce qui convient le mieux.

Pour aller plus loin, la méthode Pomodoro est expliquée en totalité sur un site dédié.

3. La méthode Ivy Lee

En 1918, un consultant en productivité du nom de Ivy Lee persuada Charles M. Schwab, roi de l’acier à l’époque, de tester sa méthode.

Sa promesse ? Doubler l’efficacité de ses employés et faire grossir ses profits au passage.

Cette méthode est très simple en apparence :

Première étape. Chaque soir, avant de terminer votre journée de travail, vous allez définir les 6 tâches importantes à réaliser le lendemain.

Classez-les ensuite par ordre d’importance.

Ce travail de priorisation nécessite du temps et de l’énergie qu’il est préférable d’investir la veille. Je vous invite à ce propos à découvrir le livre “Your brain at Work.” Un chapitre passionnant parle de cette activité comme étant l’une des plus énergivores.

Pensez-y : c’est souvent parce qu’on ne sait pas exactement sur quoi travailler que le début de la tâche est compliqué.

On finit donc par faire le plus facile au lieu de prioriser : jeter un œil à ses emails, prendre un café avec ses collègues, trainasser.

Donc première étape : 6 tâches à inscrire le soir avant de fermer l’ordinateur.

Deuxième étape. Le matin, exécutez les 6 tâches sans rien faire d’autre.

Un imprévu ? Vous essayez de le repousser à plus tard.

Et si c’est un imprévu inévitable (votre boss vous dit “Vous avez 2 minutes ? Il faut qu’on parle.”), alors vous le gérez, puis vous revenez directement sur la tâche que vous avez mise en pause.

Troisième étape. Le soir, si certaines tâches n’ont pas été réalisées, vous reportez celles-ci en première position dans la liste du lendemain. Puis vous complétez cette liste pour arriver à 6 éléments.

Pourquoi cette méthode astucieuse vous transformera en bon planificateur ?

Parce que vous allez inconsciemment vous dire :

  • OK, que dois-je faire demain ?
  • Quelles sont mes ressources à disposition ?
  • Combien de temps va me prendre cette tâche ?
Astuce : si vous n’arrivez pas à évaluer le temps que prendra une tâche, c’est que celle-ci est trop générale. Détaillez-la pour mieux planifier.

À la fin de vos premières journées de pratique de la méthode Ivy Lee, il vous restera parfois 4 tâches non réalisées. Puis 3 tâches.

Et avec le temps vous vous surprendrez à estimer de mieux en mieux la durée des tâches. Et parfois, vous serez étonné d’avoir terminé vos 6 tâches à midi.

Voilà pour la présentation rapide de ces 3 modèles.

Maintenant, je mixe ces trois méthodes et je vous présente (enfin) :

La méthode Komodolee, intégrée dans une puissante application

Cette application se nomme Workflowy.

Elle permet d’organiser votre quotidien et votre information au même endroit (ce couteau suisse m’a remplacé 5 applications).

Workflowy en françaisApplication de la méthode Komodolee dans Workflowy

Je vous montre une vidéo un peu plus loin pour vous montrer exactement ce que je fais.

Mais voici comment mettre en place la méthode Komodolee :

Chaque soir, vous allez ouvrir votre calendrier qui se trouve dans Workflowy.

Dans le jour à venir, vous aurez un onglet intitulé « Komodolee. »

Cet onglet sera composé de 3 autres onglets :

  • À faire
  • En cours
  • Fait

Notez que vous retrouvez la structure de la méthode Kanban, à un détail près : celle-ci n’est pas horizontale, mais verticale.

Dans le Komodolee du jour, vous allez inscrire les 6 tâches à réaliser, par ordre d’importance (méthode Ivy Lee).

Le jour venu, vous allez vous mettre devant votre ordinateur. Et plutôt que de vous dire « que vais-je faire maintenant ? », vous allez ouvrir la date du jour et travailler sur la première tâche à faire.

Le début de l’activité est donc facilité.

En commençant sur la première tâche, vous allez mettre en route un minuteur. Voici l’extension Tomato Timer pour Google Chrome.

Ce qui est chouette avec Tomato Timer, c’est que vous pouvez indiquer les sites à bloquer durant le travail.

Mais il existe bien d’autres applications. Il vous suffit de chercher le terme « pomodoro. »

Chaque fois que vous terminez un cycle pomodoro, vous inscrivez une barre de couleur à côté de la tâche dans Workflowy pour indiquer votre avancée.

Ainsi vous voyez votre progression et indirectement, vous vous sentez gagner.

C’est très motivant de se voir faire ce que l’on s’était engagé de faire. Ça augmente la sensation de contrôle. Et le cerveau aime ça.)

Un autre point intéressant, c’est que vous visualisez combien de temps vous a pris une tâche. Vous devenez donc un meilleur planificateur.

Une fois vos 6 tâches basculées sous l’onglet « Fait », vous pouvez soulever des kettlebells, regarder une série Netflix (je vous recommande BlackMirror : Bandersnatch) ou aller manger avec vos amis.

L’idée est de vous récompenser.

Voici une petite vidéo montrant comment j’utilise la méthode Komodolee avec l’application Workflowy :

Est-ce que la méthode peut être intégrée ailleurs que dans Workflowy?

Honnêtement, je n’ai pas trouvé de logiciel offrant une telle flexibilité.

Mais mon avis n’est pas objectif, car je suis complètement fan de Workflowy (vous trouverez mon article de test ici).

En revanche, je suis ouvert à toute suggestion de votre part car j’aime tester de nouvelles méthodes et outils d’organisation.

Et si vous ne voulez pas utiliser la méthode Komodolee ? La lecture de cet article aura-t-elle été une perte de temps totale ?

Je ne pense pas. Vous pouvez utiliser les différentes méthodes qui compose Komodolee, mais séparément.

Ce sera moins utile pour lutter contre la procrastination, mais c’est toujours mieux que rien.

  • Pour la méthode Ivy Lee -> utilisez l’application Things 3
  • Pour la méthode Kanban -> utilisez le logiciel Meister Task (surtout pour les projets en groupe)
  • Pour la méthode Pomodoro -> un simple minuteur fait l’affaire.

Maintenant que nous avons fait le tour de cette méthode, j’aimerais vous entendre.

Avez-vous des recommandations pour l’améliorer ?

Des remarques ?

Les commentaires sont là pour ça. Je réponds à tout le monde.

Merci pour votre attention.

À propos de l’auteur

Julien Gueniat est le fondateur de l’Organisologie et l’auteur du livre “2 heures chrono pour mieux m’organiser.” Il aide les managers ambitieux à transformer leur quotidien stressant en environnement serein et productif.

Livres & Sources pour aller plus loin dans la procrastination :

– La procrastination de John Perry
– Solving the procrastination puzzle de Timothy A. Pychyl
– Addiction, procrastination and Laziness – A proactive guide to the psychology of motivation de Roman Gelperin

Photo © alessandrozocc

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28 commentaires

Jo dit

Excellent article pour augmenter son activité sans faire des heures inutiles.

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    Julien l'organisologue dit

    Salut Jo, merci pour ton retour!

    Curieux d’avoir ton retour sur la mise en pratique de cette méthode 🙂

    À très vite.

    Julien

    Répondre
Catherine dit

Intéressant! Merci!
Je propose une version papier avec crayons de couleur.

Répondre
    Julien l'organisologue dit

    Hello Catherine,

    Le papier offrira toujours ce que n’offre pas le numérique. J’ai longtemps utilisé un agenda + calepin Moleskine pour m’organiser. Le truc c’est que depuis que j’ai ma vie dans un sac à dos de 40L, chaque élément compte.

    Donc j’ai migré au tout numérique (avec une larme à l’oeil haha).

    Le truc avec le papier c’est que tu peux difficilement utiliser la méthode Kanban (excepté avec les post-it).

    À très vite et merci pour ton retour.

    Julien

    Répondre
Michaël dit

Super article. Je vais tester de ce pas !

Répondre
    Michaël dit

    Comment tu fais pour tracer des carrés rouges?

    Répondre
      Julien l'organisologue dit

      Salut Michaël,

      Les barres de couleur font partie de l’arsenal du jedi de Workflowy.

      Haha.

      Tu peux consulter l’article test (et plus particulièrement les commentaires) et tu devrais trouver ta réponse.

      Si tu as besoin d’aide, contacte moi.

      À très vite.

      J

      Répondre
      Julien l'organisologue dit

      Salut Michaël,

      J’ai reçu pas mal d’emails avec la même question: j’en ai fait un article pour vous répondre > http://www.organisologie.com/workflowy-comment-avoir-des-mots-cles-colores/

      Répondre
nawal dit

Merci beaucoup, pour cet article, je pense que cette méthode m’aidera à dépasser mon problème de procrastination, et je pourrai enfin terminer ma thèse de doctorat.
salutations

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    Julien l'organisologue dit

    Bonjour Nawal. Merci pour votre retour.

    Je pense qu’il faut dans tous les cas tester cette méthode. Chacun à ses préférences mais cette manière de travailler m’aide beaucoup!

    Curieux d’avoir votre retour.

    Répondre
Virgini dit

Hello! Cela semble simple et efficace, l’idée de mesurer le tps consacré devant chaque tâche est utile, je vais essayer !
Merci Julien

Répondre
    Julien l'organisologue dit

    Virgini, cela devient très intéressant quand tu « t’amuses » à estimer combien va te prendre une tâche et combien elle te prend réellement.

    Avec de la pratique ta planification s’améliore.

    Merci pour ton retour.

    Répondre
rémi dit

Merci encore Julien pour toutes les méthodes que tu nous apprends ! Très utiles au quotidien et applicable pour tous.

Très bonne journée à vous !

Répondre
    Julien l'organisologue dit

    Avec un grand plaisir Rémi!

    Merci pour ton message!

    Répondre
Am dit

Hello Julien,
article au top (comme d’habitude), je trouve que la méthode est complète pour atteindre les objectifs sur le long terme
tu vas bous faire une formation? elle sera pour quand?
Au plaisir de te lire

Répondre
    Julien l'organisologue dit

    Salut Am,

    Une formation complète sur Workflowy sortira début février sur le blog.
    J’aborderai la méthode Komodolee dans celle-ci, mais rien de nouveau par rapport à ce que tu as lu dans l’article (par contre la méthode va beaucoup plus loin).

    À très vite donc 😉

    J

    Répondre
EF dit

Bonjour Julien, je connaissais les trois méthodes (Ivy Lee via ton blog), mais quelle bonne idée de les utiliser en synergie comme ça!
Personnellement, en plus de choisir les taches à faire chaque jour, je m’efforce d’attaquer en premier ce que je rechigne le plus (voir Eat that frog). Comme ça, au fil de la journée, quand la fatigue ou la flemme s’installent, il me restent les taches les plus sympa et je suis plus motivée pour les mener à bien!
Encore bravo pour l’idée!
Bien à toi

Répondre
    Julien l'organisologue dit

    Merci EF!

    Oui je prenais le temps de mettre le tag @frog devant la tâche la moins sexy. Mais j’ai arrêté et je pars du principe que la moins intéressante est celle qui se trouve en bas de mon onglet à Faire (et donc la première à entrer dans la case en cours).

    Mais ta proposition tient la route!

    À bientôt.

    J

    Répondre
Adam FARTASSI dit

Bonjour Julien,

Je ne connaissais pas cette méthode, et je dois avouer qu’elle a du sens. Faire une chose à la fois est essentiel pour ne pas baisser les bras en cours de route et plonger dans les divertissements. Aussi, c’est rassurant de voir à l’avance ce que l’on doit faire pour le lendemain plutôt que d’y penser toute la nuit, une fois que c’est noté c’est noté.

Au plaisir de te lire à nouveau,
Adam.

Répondre
Isabelle dit

Wow ! super article très complet. J’adore les méthodes proposées. Certaines méthodes sont parfaites selon le type de personnalité en gestion du temps.

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    Clément dit

    Merci pour ce commentaire Isabelle. Ça fera plaisir à Julien 😉

    Répondre
Elodie dit

Au top!
Je fais ma liste tout de suite 😉

Répondre
    Clément dit

    Merci pour ton commentaire Elodie.

    Répondre
michael dit

Dommage que les liens des images soient rompus…

Répondre
    Clément dit

    Bonjour Michael,

    De quelle image / lien parlez-vous ?

    Répondre
Vanessa dit

Bonjour ! Je viens de découvrir le site temps-action et je suis surprise (positivement) de voir que les articles amènent des vrais pistes pour résoudre nos problèmes et pas des conseils lambda en 2 lignes !
Sur cet article en revanche, je ne comprends pas bien en quoi la la méthode Komodolee permet de régler l’aspect « conséquences absentes ou lointaines » d’une tâche? Personnellement, c’est souvent un élément qui me fait souvent procrastiner… Avez-vous des pistes pour traiter cela? Merci beaucoup 🙂

Répondre
    Clément dit

    Bonjour Vanessa,

    Merci pour votre commentaire.

    Je pense que Julien serait mieux placer pour vous répondre.

    Mais pour ce qui est de l’absence de conséquences, la méthode vous incite à prioriser vos tâches chaque jour. Vous attaquez donc par ce qui est le plus important pour vous.

    Ce qui veut dire en général, dont les conséquences auront le plus d’impact sur votre vie, votre carrière, etc.

    Pour les conséquences lointaines : vous travaillez tâche par tâche, en définissant clairement l’action à faire, et vous avez la pression stimulante du minuteur.

    Cela vous pousse à travailler aujourd’hui, par petites sessions efficaces, sur les choses dont les conséquences sont lointaines.

    L’idéal pour ne pas reporter une chose ou un projet important pour nous mais dont on verra les résultats concrets à moyen/long terme, c’est d’avoir une ou des raisons fortes de le faire.

    Autrement dit, de savoir clairement pourquoi on fait les choses, qu’est-ce qu’on y gagne et qu’est-ce qui est en jeu si on remet à plus tard.

    Et surtout, de les garder en tête et de les revoir régulièrement. Car même si c’est important, le quotidien vous fera vite oublier ces raisons si vous n’y prenez pas garde.

    J’en parle davantage dans cet article : https://temps-action.com/atteindre-ses-objectifs

    Répondre
Cyrille dit

Merci pour tes excellents et précieux (temps=or!) conseils, j’adore la méthode Komodolee !

Répondre
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