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20 commentaires
RT @TempsAction De bonnes nouvelles pour les perfectionnistes… http://t.co/XQtae9Byrr
RépondreC’est ce dont j’ai besoin. Vraiment, cet article me touche dans des nombreux points.
RépondreLe perfectionnisme a été pendant longtemps un problème qui au final m’a fait perdre beaucoup de temps sur mes projets.
En voulant trop bien faire, on fait rien. Et lorsque l’on sait que les attentes des gens (clients, visiteurs, etc…) sont largement inférieures à ce que l’on pense, on comprend que le perfectionnisme est vraiment du gâchis.
RépondreBonjour Laurent,
Merci pour ton témoignage.
Alors, dans certains cas, le perfectionnisme permet d’aller au bout de son art, au fond des choses. La maitrise d’un instrument, la recherche scientifique en sont des exemples.
Mais dans la vie de tous les jours, c’est vraiment une tare. Cela nous pousse à remettre sans arrêt au lendemain. Résultat, comme tu le dis, on y perd beaucoup de temps, parfois de l’argent. Il nous arrive de rater des opportunités aussi.
Alors, perfectionner oui, tout dépend du contexte, mais dans tous les cas, après s’être lancé !
RépondreC’est bien de chercher d’atteindre le perfectionnisme mais il faut être guidé par d’autres critères en particulier le temps. Les talents diffèrent d’une personne à une autre. Il faut donc savoir dégager le talent pour arriver à s’adapter avec chaque situation tout en ne dépassant pas les limites.
RépondreComme le dit Laurent, il faut distinguer le perfectionnisme positif qui pousse à… la perfection dans son art ou son domaine professionnel, du perfectionnisme négatif qui est en fait une excuse pour ne jamais finir et jamais passer à ce qu’il y a après. C’est une façon de rester dans sa zone de confort, et à ce titre, c’est généralement au détriment de son développement personnel.
RépondreBonsoir Philippe,
Oui, je suis bien d’accord. Tu fais bien de le préciser.
Cet article s’intéresse ici spécifiquement au perfectionnisme négatif qui nous empêche d’agir ou de finir un travail ou un projet qui, dans bien des cas, nous apporterait bien du positif.
Merci pour ce commentaire.
RépondrePour ma part, je pense qu’un peu de perfectionnisme ne fait pas de mal mais à partir d’un certain seuil, il nous ralentit et nous fait tout remettre à plus tard sans jamais atteindre le résultat. C’est pourquoi pour pouvoir le corriger, il est d’abord essentiel de se rendre compte de sa tendance au perfectionnisme et du degré jusqu’auquel il commence à handicaper la personne. Une fois que l’on aura reconnu son défaut et ses conséquences, il sera plus facile de le corriger. Ensuite, il faut réapprendre à bien évaluer ses attentes. Le perfectionniste a tendance à mettre la barre trop haute. En tenant compte de l’objectif à atteindre, il faut savoir évaluer le niveau raisonnable de qualité d’achèvement de ce qu’on envisage d’entreprendre. Pour mieux équilibrer les choses et atteindre tous ses objectifs, on peut les prioriser de façon à ne rien laisser en plan. Les priorités posent des balises, une direction, une limite dans l’action. Enfin, l’entourage peut aussi servir de point de repère. A partir du moment où notre obstination crée des tensions et des frustrations autour, on peut dire qu’on a dépassé la limite du raisonnable en termes de recherche de perfection.
RépondreBonsoir,
Je tiens à vous remercier très fort pour le partage de vos expériences… qui font un guide,un schéma pour réussir à laisser une empreinte dans la vie…
RépondreBonjour Abdeladi,
Merci pour ce commentaire sympa. Content que les articles vous soient utiles.
RépondreBonsoir Clément,
Un super article (comme toujours) !
Je suis d’ailleurs 300 % d’accord avec vous…
Personnellement, j’essaie d’appliquer Pareto au carré …(enfin quand je prends le temps de prendre un peu de recul vis à vis de mon perfectionnisme… ;-).
Alors, je m’explique, si on décompose un 1 résultat = 1 décision + 1 action
Donc, clairement procrastiner sa décision … n’apporte aucun résultat… pas plus d’ailleurs que décider sans agir du reste…
Bref, du coup, maintenant, voilà 2 questions que j’essaie de me poser le + régulièrement possible (comme vous j’imagine) :
– Quelle sont les 20% de décision qui auront le plus d’impact sur les 80% de ma journée ?
– Quelle sont les 20% d’action correspondante qui auront le plus d’impact (80%) sur les résultats visés ?
Ces deux questions constituent pour moi l’un de mes meilleurs remède anti-procrastination ! En théorie, cela rend 4×4=16 fois plus efficace… Et ensuite il y a les différentes techniques comme celle d’utiliser la loi de Parkinson qui aide effectivement beaucoup.
Je l’ai d’ailleurs appliqué à ma boite mail… ça a fait des merveilles !
@+
Vincent
Bonjour Vincent,
Merci pour ce commentaire bien étayer !
J’aime bien cette façon de procéder. Très pertinente. On gagne du temps, et on se débarrasse de l’inutile.
@+
Clément
J’ai beaucoup aimé cet article,car il fait allusion aux problème que j’ai toujours rencontré jusqu’à se petit matin cet attitude de procrastination.Par ce que j’avais une tâche à accomplir se matin,mais pour je ne sais quoi j’ai décidé qu’il serait mieux que je le fasse demain.Donc c’est un problème réel cher moi,qui je l’espère va changé bientôt.Merci à vous pour votre travail et pour votre dévouement à nous voire réussir.
Cordialement Bethsaleel.
De bonnes nouvelles pour les perfectionnistes… https://t.co/qYvIESRWAz
RépondreJe vous ai envoyé le lien par mail Patrice. Tout devrait fonctionner maintenant !
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